Qui suis-je ?
Tout a commencé alors que j'avais 12 ans, au collège. Je prenais plaisir à inventer des dialogues et à imaginer des situations dans les rédactions que je rendais à ma professeure. Je me disais "Plus tard j'écrirai", j'en étais convaincu.
Ce n'est qu'à 19 ans que j'écrivais la première ligne de mon premier roman (Je a tué un rêve). Quand je le relis aujourd'hui, je souris et me dis que le style est quelque peu maladroit.
Depuis, à 48 ans, je n'ai pas cessé d'écrire nouvelles et romans. Je vous propose mes romans les plus aboutis sur le-stylo-qui-vole, avec un nom d'emprunt, celui de mon père : Richard Leduc.
Un cursus scientifique. Une école d'ingénieur en informatique. Mais, délaissant équations et algorithmes, j'ai préféré me plonger dans mon imaginaire et remplir des pages d'intrigues tordues, de situations de départ improbables, de personnages décalés aux répliques bien senties.
Rejoignez-les en partant à la découverte de chacun de mes romans !


Remplir des cahiers
Depuis tout jeune j'adore jouer avec les mots et imaginer des histoires loufoques. Un jour je me suis dit qu'il fallait coucher mes idées saugrenues sur le papier. Alors j'ai inventé des personnages aux noms improbables, j'ai mis dans leurs bouches des mots inattendus ou désuets et je les ai plongés dans des situations gênantes ou incongrues.
Et c'est ainsi que depuis 30 ans je me pose à des terrasses de café, je sors de ma poche mon petit cahier et mon stylo et j'écris tant que l'inspiration est là. L'hiver je me couvre bien, l'été je me bats pour trouver une place.
L'idée d'un nouveau roman déboule souvent sans prévenir, elle s'impose sans que je ne l'ai vue arriver. Alors il faut bâtir une intrigue autour avec un début, un milieu et une fin. Mais autour de cette colonne vertébrale, c'est la magie qui opère, un bon mot par-ci, un quiproquo par-là mais, l'air de rien, cet agrégat de mots parvient à capter l'attention du lecteur, lui donne l'envie de poursuivre sa lecture et de savoir où mènera ce tourbillon d'idées.
Cela tombe plutôt bien, c'était là mon but premier : divertir mes lecteurs.